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Le canon de Montereau. Étains du prince

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Le CANON de MONTEREAU.
L’Empereur pointe lui-même son artillerie.
Après les désastres de la campagne de Russie et celle d'Allemagne, l'Empereur décide de "chausser ses bottes d'Italie".
Avec des troupes sans expériences, pratiquement sans cavalerie, souvent à un contre 5, il enchaine victoire sur victoire, il bat alternativement les deux colonnes principales de l’ennemi, les Prussiens dans la vallée de la Marne, et les Austro-Russes dans celui de la Seine. Finalement il doit capituler après la trahison, la lassitude de certains parmi ses plus proches compagnons de guerre, qui pourtant, lui devaient tout.

Le 18 février 1814, lors de l’attaque du pont de Montereau, il ne résiste pas au plaisir de retrouver son ancien métier d’artilleur et il pointe lui-même une pièce de 12, de l’artillerie à cheval. Aux soldats qui l’entourent, il déclare : "Allez mes amis, ne craignez rien, le boulet qui doit me tuer n’est pas encore fondu !. Une gravure d’époque visible au musée Carnavalet, montre l’empereur pointant un canon, en utilisant la vis de réglage (mécanisme qu’il connaissait fort bien) au centre d’une murette démolie pour y installer la batterie. Un bas-relief qu’on peut voir à Montereau de nos jours, explique que le feu des artilleurs ne partait point des rives de l’Yonne, face au pont si âprement attaqué par des dragons venus d’Espagne et la cavalerie de la garde Impériale, mais bien des terrasses du château de Surville où l’état-major avait installé une concentration de 60 canons prenant en file les Wurtembergeois qui chargeaient courageusement à la baïonnette.
Les pièces mises en batterie appartenaient au corps de l’artillerie à cheval de la garde.

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